Le topic des news (du jeux-vidéo)

La semaine dernière, Ubisoft a orchestré un teasing nous amenant à l'officialisation de Far Cry 5. Mais, dès la publication du premier artwork, il y a eu des grognements du côté de l'extrême droite américaine, pro-Trump ou pro-nazis. En cause ? Les méchants, qui constituent une secte de blancs chrétiens suprémacistes. Et le FPS continue de déranger puisqu'une pétition visant à le faire annuler est organisée sur Internet.

Si SEGA communique régulièrement sur Sonic Mania, ce qui nous a permis de publier plein de vidéos du jeu d’un coup à la mi-mai, sa date de sortie précise, repoussée du printemps à l’été, n’était jusque-là pas encore connue. Des rumeurs récentes évoquaient cependant le 15 août, et c’est désormais officiel ; c’est à cette date que le titre fera son arrivée simultanée sur PC et consoles. Il est d’ailleurs d’ores et déjà possible de le réserver au format dématérialisé sur Steam au tarif de 17,99 €, ainsi que sur Xbox One et PlayStation 4 à 19,99 €. Et si l’on ne peut pas (encore ?) en faire autant sur Switch, l’éditeur a confirmé que la console de Nintendo serait servie en même temps et qu’elle aurait également droit à son édition collector. Disponible à la précommande à cette adresse, du moins pour le territoire nord-américain, on ne devrait la trouver chez nous que via Amazon, qui ne la référence pourtant pas encore à l’heure actuelle…

En mettant de côté les conditions de jeu loin d'être optimales, ce Far Cry 5 tente d'insuffler un peu de nouveauté au sein d'une recette dont on a fait le tour sur les trois derniers épisodes. Outre son atmosphère qui possède vraiment du coffre (on recommande à tous de regarder Justified avant de se lancer dans l'aventure), c'est sur une session de jeu bien plus longue qu'il faudra juger de la pérennité de la proposition et savoir si, à l'instar de ses aînés, le titre d'Ubisoft ne donnera pas l'impression au joueur de tourner trop vite en rond. Réponse le 27 février prochain sur PC, PlayStation 4 et Xbox One.

Si cet E3 proposait une série d'expériences exotiques en VR comme depuis deux ans, le projet le plus crétin se doit d'être ce Bazooka VR dont l'anonymat absolu sur la toile suffit à son éligibilité, et suggère qu'on ne le reverra probablement plus jamais. Nul besoin de présenter le projet en détail, le simple nom du jeu parle de lui-même : c'est un put**** de bazooka en plastique que l'on tient avec un Oculus Rift sur le nez. En contemplateurs raffinés de l'absurde, on aurait aimé vous décrire le gameplay du titre sur une preview de douze pages, mais la file d'attente dépassant celle de certains AAA présents sur le salon nous a vite découragés. Reste donc le prospectus du jeu, dont le graphisme et la titraille parlent d'elles-mêmes.