toi t'as vraiment l'art de ne faire ressortir que le négatif quand un truc te plais pas. c'est assez impressionnant en fait.
J'ai mis une question, il n'y a rien de négatif surtout que la réponse des numériques est que la NS chauffe peu
toi t'as vraiment l'art de ne faire ressortir que le négatif quand un truc te plais pas. c'est assez impressionnant en fait.
Y a rien, à aucun moment, de truc positif sur cette console
rodi a écrit:Attention à l'utilisation de stickers sur la NS : http://www.jeuxvideo.com/news/619057/nintendo-switch-coller-un-sticker-dessus-une-mauvaise-idee.htm
Avec 105 000 unités écoulées sur le weekend de lancement, le record des 95 000 unités écoulées par la Wii est donc officiellement tombé. A titre de comparaison, la Wii U n'avait à l'époque pu faire mieux que 48 000 exemplaires, tandis que la PlayStation 4 et la Xbox One se sont respectivement écoulées à 90 000 et 50 000 exemplaires sur des laps de temps similaires.
"10 € plus cher sur Switch que sur PlayStation 4 ou Xbox One" ? Oui, c'est bien ce qu'ont annoncé les papas de Rime il y a quelques jours et cela n'a pas manqué de faire réagir les acheteurs de la dernière machine de Nintendo. Mais alors, comment est justifié cet écart de prix ? Eurogamer nous donne un premier élément de réponse dans un article revenant sur le prix des cartouches de la Switch.
Selon le site anglais, le prix des cartes destinées à accueillir les jeux dépend tout d'abord de leur taille (1Go, 2Go, 4Go, 8Go, 16Go ou 32Go), mais à mémoire équivalente, serait de toute façon plus cher qu'un disque Blu-Ray. Ceci pourrait donc expliquer le prix plus élevé de certains jeux sur Switch, même si nous n'aurons pas d'explication précise de Tequila Works :
Reboot réussi pour Blaster Master Zero, qui ne remportera ni la palme de l'originalité ni celle de la modernité, mais qui offre une demi-douzaine d'heures très agréables à un tarif à peu près correct. Même si l'offre Metroidvania commence à devenir pléthorique, le concept initial entre exploration en tank et phases à pied fonctionne encore à court terme, avec un armement assez évolutif pour donner ce sentiment de progression typique du genre. Après, le jeu est tellement facile qu'on en viendrait même à déconseiller d'activer le bouclier temporaire, ne serait-ce que pour retrouver partiellement le degré d'exigence que réclamait la version NES d'origine. Un jeu aussi agréable, même si le travail de restauration est si révérencieux qu'il laisse peu de place à l'imagination.
En jouant en mode TV, la plateforme est installée dans son dock et est comme compressée. Forcément, au bout de plusieurs heures de jeu, la machine chauffe et a dû mal à refroidir. Résultats des courses ? Pour certains, la belle se serait tordue, comme le montrent les photos ci-dessus. Néanmoins, ce souci toucherait une toute petite portion des joueurs.
Une boîte vide, ça vous tente ? Non parce qu'acheter un morceau de carton totalement vide, c'est possible, et pour ça, il faut remercier Nintendo. Quel monde magnifique, n'est-ce pas ? Sur sa boutique officielle japonaise, le constructeur propose en effet d'acheter la boîte du pack Nintendo Switch + Splatoon 2, mais au contenu vide de chez vide.
Parfait, ca evite de racheter un pack pour avoir un autre packaging ahah
il y a bien eu une hype pour la ps4 et au final elle se vend encore, le bouche à oreille ...
Les accessoires pas plus cher que les manettes ps4 or de prix et de mauvaise qualité (coucou les sticks de merde)
Si les jeux ne baissent jamais, c'est qu'ils n'ont pas besoin de baisser pour etre bien vendu, contrairement à tous les autres jeux de pure consommation. C'est au contraire plutot bon signe, ils sont fait pour durer
Pas loin de quarante euros pour relancer Street Fighter II, c'est quand même cher payé, surtout pour une version qui se contente de petits ajustements de-ci de-là et de modes de jeu un peu flingués pour attirer le chaland. L'un dans l'autre, c'est aussi le meilleur moyen d'emporter partout avec soi une version repensée de l'un des jeux de baston les plus puissants qui soient, jouable à deux partout, à condition de ne pas être handicapé du Joy-Con ou de s'équiper d'un Controller Pro pour en profiter dans de meilleures conditions. Notre temps de jeu l'atteste dans les stats, on est forcément heureux de retrouver le grand Street II avec une esthétique rétro qui va bien, mais Capcom l'a encore jouée à l'économie, sauf au moment d'accoller un prix. Et quand on voit à quels tarifs se négocient Mark of the Wolves, Samurai Shodown IV ou KOF '98 sur eShop, ça fait forcément réfléchir.
Faute de port casque sur les Joy-Con ou même sur la manette Pro de la Switch, le casque-micro aura besoin d'être branché sur un adaptateur qui lui-même sera à la fois relié sur la Switch (en mode portable, vu la longueur des câbles) et greffé au smartphone puisque, même si on ne comprend toujours pas bien le pourquoi du comment, c'est par une application mobile que Nintendo prévoit de faire passer le chat vocal. L'installation requise pour écouter à la fois le son du jeu et les discussions des utilisateurs est donc la suivante :
Un habillage coloré, des sonorités estivales, un concept limpide mais pas dénué de profondeur non plus : avec ARMS, Nintendo a cherché à décliner la recette miracle de Splatoon sur le créneau de la baston et le résultat est dans l'ensemble assez réussi, au moins pour animer quelques soirées. C'est sur la longueur que le doute est permis, car s'il ne manque pas de punch, le concept tourne bien trop vite en rond pour vous scotcher des heures durant. Les attaques délayées et les frappes téléguidées, c'est sympa, mais on a parfois l'impression de jouer à une variante déguisée du 50/50 à attendre le pas de côté de trop. Et comme le contenu disponible au lancement ne fait pas grand-chose pour vous retenir, entre des modes de jeu solo trop limités, des épreuves annexes répétitives et du grinding déguisé pour débloquer l'intégralité de l'arsenal, l'enthousiasme initial finit par retomber. Bref, à défaut d'une baisse de prix sur laquelle il ne faut pas trop compter, autant attendre les futures mises à jour avant de mettre un bras dans la machine.
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