Teenage Mutant Hero Turtles IV: Turtles in Time.
Editeur : Konami
Développeur : Mirage interactive
Support : SNES
Année : 1991 en arcade
1992 en SNES
Aujourd’hui je vais vous parler du jeu grâce auquel je suis devenu une légende dans mon quartier…
Tout commence par la braderie annuelle; je devais avoir 13 ou 14 ans a l’époque. Cette année deux choix cruciaux s’ offraient a moi: soit aller poser devant les auto-tamponneuses avec la plupart des jeunes de mon âge, -moustache de puceau et chaine en argent avec la croix de la communion autour du cou inside- dans l’ espoir de me faire remarquer par l’une ou l’autre des jeunes filles des alentours… ou rester fidèle a moi-même (mais quasi seul) à trainer dans les salles d’arcade itinérantes…
Je n’ai pas hésiter bien longtemps avant d’opter pour l’arcade (bien sûr).
Aprés quelques parties de Street Fighter, Out Run et autres classiques, mon regard fut attiré par une borne chatoyante. Elle était énorme, quatre joysticks alignés en demi-cercle -ce qui signifiait donc quatre joueurs simultanément… fabuleuse. Je m’aproche et là surprise! ils étaient tous présents, Raphaelo, Donatello, Leonardo et l’excellent Michelangelo.
Je fouille mes poches, sort une pièce de 20 FB et la c’est parti (je choisit michelangelo): premier level, un immeuble en construction, et c’est parti pour du non-stop baston videogame. Rarement un beat n’a été aussi bourrin… quelques pièces plus tard, un attroupement de « petits » se formait autour de moi et un pote me rejoint dans la foulée. Et là, la consécration arrive, on finit par botter le derche de shredder… générique de fin -on en était venu a bout… un grand WAAAAAW se fait entendre autour de nous. Nous étions devenus des légendes…
Quelques jours plus tard le pote en question s’offre le jeux pour sa SNES et ce fut reparti pour des apréms de folie…
Plus sérieusement ce jeu fait partie de mes coups de cœur; j’aimais déjà beaucoup nos amis a carapace mais là je pense qu’il s’agit d’un des meilleur jeux de la licence TMHT.
Graphismes soigné, musique entrainante, animation tip top voire même drôle par moment (la tortue qui tombe dans une plaque d’égouts, les planches du bateau pirate…) sprites super colorés , enfin tout ce qui faut pour faire un hit; le seul petit reproche que je puisse lui faire c’ est sa difficulté pas hyper élevée, même en mode hard une journée maxi suffit a plier les dix niveaux disponible (et je parle pour un novice).
Ha oui je dois vous parler des boss, certains sont fabuleux y a le rat king, bebop et rocksteady, shredder enfin quasi tous les ennemis des tortues de l’animé...sans parler du boss du niveau 4.Il s’agit de shredder vu de dos installé au premier plan dans un genre de vaisseau armé de tentacule avec des pinces électrique au bout. L’astuce pour le dégommer est de balancer les ennemis qui ne manquent pas d’arriver en rafales sur le cockpit du dit vaisseaux et la l’effet de zoom est saisissant: on sent bien que Konami maitrise le mode 7 de la SNES (et que c’ est de la routine pour eux)
Et c' est a la fin de cette baston homérique que le titre du soft prend tout son sens car pas très satisfait de s' être fait latter, Shredder envoie nos tortues a travers le temps, et la on a droit a la préhistoire, le far-west, un bateau pirate... Ca fait plaisir
Scénario : Le vil Shredder a kidnappé la statue de la liberté et forcément, seule une joyeuse bande de tortues amatrice de pizzas peuvent résoudre la situation.
Graphisme : rien à dire c’est nickel, coloré, bien foutu, et les fameux effets de zoom dont je vous ai parlé plus haut sont vraiment excellent.
Sons : pareil que pour les graphismes l’ambiance sonore est au top et les musique sont extra (je vous conseil le morceau du niveau égouts ou vous faites du surf qui est particulièrement jouissif)
Jouabilité : c’est précis, c’est rapide -il y a juste les projections qui sont un peu hard à apprivoiser mais une fois qu’on a choppé le truc ça va tout seul.
Durée de vie : Même si il se termine assez rapidement on prendra un pied monstre à se refaire des parties en solo ou entre potes -regardez moi 15 ans après je délire encore autant en y jouant.
Notes finale : je pense qu’il mérite un 8,5 bien tassé. J’aurais mis plus si il aurait été un poil plus hard mais bon…
et en bonus la fameuse scène de surf juste pour la musique
Editeur : Konami
Développeur : Mirage interactive
Support : SNES
Année : 1991 en arcade
1992 en SNES
Aujourd’hui je vais vous parler du jeu grâce auquel je suis devenu une légende dans mon quartier…
Tout commence par la braderie annuelle; je devais avoir 13 ou 14 ans a l’époque. Cette année deux choix cruciaux s’ offraient a moi: soit aller poser devant les auto-tamponneuses avec la plupart des jeunes de mon âge, -moustache de puceau et chaine en argent avec la croix de la communion autour du cou inside- dans l’ espoir de me faire remarquer par l’une ou l’autre des jeunes filles des alentours… ou rester fidèle a moi-même (mais quasi seul) à trainer dans les salles d’arcade itinérantes…
Je n’ai pas hésiter bien longtemps avant d’opter pour l’arcade (bien sûr).
Aprés quelques parties de Street Fighter, Out Run et autres classiques, mon regard fut attiré par une borne chatoyante. Elle était énorme, quatre joysticks alignés en demi-cercle -ce qui signifiait donc quatre joueurs simultanément… fabuleuse. Je m’aproche et là surprise! ils étaient tous présents, Raphaelo, Donatello, Leonardo et l’excellent Michelangelo.
Je fouille mes poches, sort une pièce de 20 FB et la c’est parti (je choisit michelangelo): premier level, un immeuble en construction, et c’est parti pour du non-stop baston videogame. Rarement un beat n’a été aussi bourrin… quelques pièces plus tard, un attroupement de « petits » se formait autour de moi et un pote me rejoint dans la foulée. Et là, la consécration arrive, on finit par botter le derche de shredder… générique de fin -on en était venu a bout… un grand WAAAAAW se fait entendre autour de nous. Nous étions devenus des légendes…
Quelques jours plus tard le pote en question s’offre le jeux pour sa SNES et ce fut reparti pour des apréms de folie…
Plus sérieusement ce jeu fait partie de mes coups de cœur; j’aimais déjà beaucoup nos amis a carapace mais là je pense qu’il s’agit d’un des meilleur jeux de la licence TMHT.
Graphismes soigné, musique entrainante, animation tip top voire même drôle par moment (la tortue qui tombe dans une plaque d’égouts, les planches du bateau pirate…) sprites super colorés , enfin tout ce qui faut pour faire un hit; le seul petit reproche que je puisse lui faire c’ est sa difficulté pas hyper élevée, même en mode hard une journée maxi suffit a plier les dix niveaux disponible (et je parle pour un novice).
Ha oui je dois vous parler des boss, certains sont fabuleux y a le rat king, bebop et rocksteady, shredder enfin quasi tous les ennemis des tortues de l’animé...sans parler du boss du niveau 4.Il s’agit de shredder vu de dos installé au premier plan dans un genre de vaisseau armé de tentacule avec des pinces électrique au bout. L’astuce pour le dégommer est de balancer les ennemis qui ne manquent pas d’arriver en rafales sur le cockpit du dit vaisseaux et la l’effet de zoom est saisissant: on sent bien que Konami maitrise le mode 7 de la SNES (et que c’ est de la routine pour eux)
Et c' est a la fin de cette baston homérique que le titre du soft prend tout son sens car pas très satisfait de s' être fait latter, Shredder envoie nos tortues a travers le temps, et la on a droit a la préhistoire, le far-west, un bateau pirate... Ca fait plaisir
Scénario : Le vil Shredder a kidnappé la statue de la liberté et forcément, seule une joyeuse bande de tortues amatrice de pizzas peuvent résoudre la situation.
Graphisme : rien à dire c’est nickel, coloré, bien foutu, et les fameux effets de zoom dont je vous ai parlé plus haut sont vraiment excellent.
Sons : pareil que pour les graphismes l’ambiance sonore est au top et les musique sont extra (je vous conseil le morceau du niveau égouts ou vous faites du surf qui est particulièrement jouissif)
Jouabilité : c’est précis, c’est rapide -il y a juste les projections qui sont un peu hard à apprivoiser mais une fois qu’on a choppé le truc ça va tout seul.
Durée de vie : Même si il se termine assez rapidement on prendra un pied monstre à se refaire des parties en solo ou entre potes -regardez moi 15 ans après je délire encore autant en y jouant.
Notes finale : je pense qu’il mérite un 8,5 bien tassé. J’aurais mis plus si il aurait été un poil plus hard mais bon…
et en bonus la fameuse scène de surf juste pour la musique
Dernière édition par jack deth le Dim 15 Fév - 14:37, édité 2 fois