L'actualité retrogaming

Précisons avant tout qu'Atari n'est plus américain depuis longtemps : récupéré par le Français Infogrames en 2001, Atari est dirigé depuis 2014 par Frédéric Chesnais, ancien employé d'Infogrames. La marque essaie tant bien que mal de redorer son blason depuis quelques années et semble miser sur la nostalgie pour attirer quelques milliers de joueurs supplémentaires ; en témoigne cette Ataribox annoncée pour la première fois en juin dernier, et qui est aujourd'hui présentée plus en détail. Le design de cette nouvelle console s'inspire largement des lignes et des matériaux utilisés sur la mythique Atari 2600 sortit en octobre 1977 aux États-Unis.
Un anniversaire à marquer d'une pierre blanche
La vénérable machine aura donc 40 ans dans quelques mois et il y a fort à parier que cette Ataribox débarquera dans les rayons aux alentours de cette période. Le produit sera par ailleurs proposé dans deux versions, l'une en rouge et noir et l'autre en bois et l'on pourra compter sur la présence d'un lecteur de carte SD, un port HDMI, un port Ethernet ainsi quatre ports USB. Et à quoi jouera-t-on dessus ? Difficile à dire, même si Atari affirme vouloir miser à la fois sur son catalogue de jeux "classiques" et sur des nouveautés. Tout dépendra également du hardware embarqué et sa capacité à faire tourner des jeux récents.

Avec la parution de la NES Classic Mini en novembre dernier, et la publication de la Super Nintendo Classic Mini en septembre prochain, Big N déterre ses succès d'antan en miniature - et cela fonctionne du tonnerre. Si l'aventure devait continuer, le prochain stop serait logiquement la Nintendo 64.

Et à ce sujet, la rumeur veut que la firme de Kyoto songe déjà à une version miniature de cette machine culte sortie dans nos contrées en 1997. En effet, un dépôt récemment soumis à l'European Union Intellectual Property Office (EUIPO) prend la forme d'une manette de N64 ; il en a été fait de même pour la Nintendo Switch, la NES Mini et la SNES Mini, dans la rubrique "biens et services". Pour certains, c'est la confirmation de l'arrivée d'une nouvelle mini-console l'année prochaine.

Nous avons contacté Nintendo, qui n'a pas souhaité faire de commentaire au sujet de cette rumeur. Et vous, souhaiteriez-vous avoir une telle machine dans votre salon, renfermant des titres tels que Super Mario 64, Ocarina of Time, GoldenEye 007, Banjo-Kazooie ?

Source : NeoGAF

Déjà que le téléchargement de ROMs, hors abandonware et homebrew, reste illégal, les utilisateurs de flashcarts vont avoir une nouvelle raison de culpabiliser… Ou pas, en fonction du modèle qu’ils utilisent ! C’est un article de db Electronics, le fabricant d’accessoires comme le FM Power Base Converter ou le db Grafx Booster, qui a semé un véritable vent de panique au sein de la communauté… Il faut dire que le choix d’une image d’explosion pour l’illustrer n’a pas aidé. Sans entrer dans les détails techniques, René Richard explique que la plupart des flashcarts sont conçues pour recevoir un courant de 3,3 V, alors que beaucoup de vieilles consoles (mais pas la Nintendo 64 et la Game Boy Advance, pour lesquelles il n’y a donc pas de danger) emploient une tension de 5V, et il faut bien évacuer le surplus d’énergie… L’idéal est de convertir la tension, ce que la SD2NES, le bon élève de la classe des flashcarts, fait parfaitement. À l’opposé, les multicarts chinoises pour NES et Neo·Geo emploient des diodes censées protéger de décharges ponctuelles, mais pas d’une surtension continue ! D’ailleurs, il y a déjà eu des témoignages de consoles vraisemblablement décédées suite à l’utilisation de ces cartouches…